19 janvier 2009
1
19
/01
/janvier
/2009
21:41
En ce moment, c’est ma période Argento.
Aujourd’hui : « Le Chat a neuf queues » !
Dans un centre de recherche, un scientifique est retrouvé assassiné.
Un journaliste s’intéresse à l’histoire et entreprend de retrouver l’assassin ; il est aidé par un vieil aveugle.
Bon disons-le tout net et sans ambages : ce « Chat à neuf queues » ne m’a pas emballé !
La faute à une intrigue qui hésite beaucoup trop entre le film d’horreur, le thriller ou le policier. Et à force d’hésiter, et bien le film perd tout le rythme qu’il aurait pu avoir. Oh, il y a de bonnes scènes, comme celle du lait empoisonnée ou bien la poursuite finale sur les toits. Mais le film tergiverse un peu trop pour qu’on se sente transporté.
Le duo de personnages principaux, le journaliste beau gosse et le vieil aveugle, fonctionne très bien car ils sont opposés mais complémentaires.
Alors on retrouve bien par moment la "patte" Argento : les héros qui utilisent leurs sens ou leur mémoire pour repérer un infime détail, et un amour pour les scènes sanglantes (bien rares dans le film). Reste que la réalisation est trop timoré, on aimerait de grandes envolées, et ça ne vient pas. Alors on se contentera de cette histoire à base de génétique (en avance sur son époque, même si ça reste un prétexte).
Un Argento mineur, pas très motivé ni motivant, et loin de la fulgurance de « L’Oiseau plumage de Cristal ». Mais un Argento médiocre vaut bien d’autres réalisateurs.
Aujourd’hui : « Le Chat a neuf queues » !
Dans un centre de recherche, un scientifique est retrouvé assassiné.
Un journaliste s’intéresse à l’histoire et entreprend de retrouver l’assassin ; il est aidé par un vieil aveugle.
Bon disons-le tout net et sans ambages : ce « Chat à neuf queues » ne m’a pas emballé !
La faute à une intrigue qui hésite beaucoup trop entre le film d’horreur, le thriller ou le policier. Et à force d’hésiter, et bien le film perd tout le rythme qu’il aurait pu avoir. Oh, il y a de bonnes scènes, comme celle du lait empoisonnée ou bien la poursuite finale sur les toits. Mais le film tergiverse un peu trop pour qu’on se sente transporté.
Le duo de personnages principaux, le journaliste beau gosse et le vieil aveugle, fonctionne très bien car ils sont opposés mais complémentaires.
Alors on retrouve bien par moment la "patte" Argento : les héros qui utilisent leurs sens ou leur mémoire pour repérer un infime détail, et un amour pour les scènes sanglantes (bien rares dans le film). Reste que la réalisation est trop timoré, on aimerait de grandes envolées, et ça ne vient pas. Alors on se contentera de cette histoire à base de génétique (en avance sur son époque, même si ça reste un prétexte).
Un Argento mineur, pas très motivé ni motivant, et loin de la fulgurance de « L’Oiseau plumage de Cristal ». Mais un Argento médiocre vaut bien d’autres réalisateurs.