Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
31 juillet 2009 5 31 /07 /juillet /2009 21:36
Cela faisait un sacré bout de temps que je n'avais pas revu mes copines de Fairview, malgré une très sympathique saison 3 qui remettait la série sur de bons rails. Et voilà que justement M6 diffuse cet été la quatrième saison de la série : est-ce l'occasion de s'y remettre ?

Et bien disons-le tout de suite : oui !
Car retrouver Linette, Susan, Bree et Gabriel est un vrai plaisir. Rien ne change vraiment dans Desperate Housewives et justement l'un des plaisirs est de retrouver ces personnages hauts en couleur.

L'intrigue générale de la saison va tourner autour d'une nouvelle voisine, Catherine, ancienne amie de Susan. Et comme toujours dans Desperate Housewives : à nouveaux voisins, nouveaux mystères... Car Catherine dissimule un passé sûrement trouble. Pourquoi sa fille ne reconnait-elle plus personne alors qu'elle est sensée avoir vécu à Whisteria Lane au début de son enfance ? Pourquoi Catherine ne veut-elle rien dire sur le père de sa fille ?
Et s'il n'y avait pas Catherine, les sous-intrigues sont suffisament gratinées : Mike, l'époux de Susan, va-t-il découvrir que Hodge, l'époux de Bree, a tenté de l'écraser (occasionnant indirectement ses troubles de mémoire) ? Gabriel va-t-elle supporter longtemps son mari, riche maire de la ville mais absent et froid comme la glace ? Et comment Bree va-t-elle s'y prendre pour cacher que sa fille est enceinte ? Linette viendra-t-elle à bout de son cancer ?


Dit comme ça, si vous ne regardez pas Desperate Housewives, vous devez penser que cette série est un ersatz de Dallas ou des Feux de l'amour... Et vous n'auriez pas totalement tort, puisqu'arrivée à la quatrième année la série perd toute crédibilité (déjà qu'elle n'en n'avait pas beaucoup). Fort heureusement c'est sans compter le charisme des actrices et l'humour des auteurs qui supportent le show.

Le gros point positif de cette saison c'est d'être presque la dernière. Car à la fin des 17 épisodes, toutes les intrigues sont bouclées. On pourrait très bien s'arrêter là, tout est expliqué, rien n'est caché. Sauf que les 30 dernières secondes annoncent de grands changements, ce dont la série avait besoin.

Parmi les défauts, notons simplement que tout va un peu trop vite et que les surprises fusent de toute part : 2 décès importants, 2 naissances (...balle au centre !^^).

Rendez-vous pour une saison 5 qui s'annonce toute neuve et par conséquent sous les meilleurs auspices...
Partager cet article
Repost0
29 juillet 2009 3 29 /07 /juillet /2009 18:07
"Bella" vient tout juste d'arriver dans le patelin de Forks pour y vivre avec son père. Au lycée, elle rencontre Edward, un beau jeune homme ténébreux. Son secret ? Il est un vampire et vit caché parmi les humains.
Leur amour est-il possible ?


Twilight est l'un des grands succès en librairie des dernières années, rayon ado et surtout c'est le roman qui a remis le vampire au goût du jour chez les ados. N'ayant pas lu le roman, je ne parlerai donc pas ici de l'adaptation en elle-même. Et comme je le craignais, Twilight n'est pas fait pour moi, trentenaire bien rôdé aux films de genre.

On peut concevoir Twilight comme une porte d'entrée dans l'univers fantastique destiné aux jeunes néophytes. Le film récupère ainsi pas mal de clichés modernes sur le mythe vampirique et saupoudre le tout d'une romance un brin légère et inoffensive. Oui, le beau vampire fera tout pour sauver sa belle, même jusqu'à mettre en péril les siens. Bref c'est pour des ados, pas pour des adultes.

Vu avec l'oeil d'un vieux routard du film de genre, Twilight est long et parfois ennuyeux, car il ne démarre finalement que dans le dernier quart d'heure, où il se passe enfin quelque chose ! Une heure et demie d'introduction, voilà bien le principal souci du film qui propose des scènes interminables.

Seuls points positifs : la photographie qui réussit à rester grise tout au long du film (mais du coup tous les acteurs ont des airs de déterrés, ce qui, pour un film de vampire, finalement est dans le ton) et le parti pris de la voix-off, surprenant pour un blockbuster pour ados ricains.

Hormis cela, qu'est-ce que c'est long...
Partager cet article
Repost0
7 juillet 2009 2 07 /07 /juillet /2009 14:49

Iruka Nanase est un petit bout de fille qui adore le volley-ball ! Pas de chance pour elle : le club de son lycée ferme ses portes, faute de joueuses.

Pour la consoler, ses amies lui proposent de flâner en bord de mer. Et là, c’est la révélation : Iruka veut devenir championne de beach-volley ! Oh, pas seulement pour le plaisir, mais aussi pour clouer le bec à une joueuse arrogante qui s’est moqué de sa petite taille.

Et le chemin avant de devenir une vedette de la plage s’annonce bien long…

 

Beach Stars est un manga grand public complet. Chacun y pourra trouver son compte dans cette histoire.

Il semble que les amateurs d’intrigues « sportives » soient nombreux au Japon : après tout, il y a bien des mangas sur la boxe, le foot, le tennis, le baseball, le jeu de go, les jeux de cartes et j’en passe. Ca n’est pas la première fois que l’on voit du volley-ball à la sauce manga : les trentenaires se rappellent encore de Jeanne et Serge sur la Cinq (chaîne tv maintenant disparue)… Morio Masahiro, l’auteur, assure un trait dynamique, clair et précis, à défaut d’être original.

 

Les amateurs de fan-service (mais si vous savez bien, dans les mangas il y a souvent des vues sous les jupes des filles) seront aux anges, puisque le lieu principal de l’histoire, c’est bien sûr la plage, avec pas mal de jeunes femmes en maillot de bain. C’est aussi l’une des qualités de ce manga : être discrètement coquin sans en faire trop non plus.

 

Enfin, les amateurs de mangas qui cherchent une histoire simple, classique, et pas prise de tête ne devraient pas se faire prier : voilà le manga idéal pour cet été.

A vos services !

Partager cet article
Repost0
28 juin 2009 7 28 /06 /juin /2009 10:36
Par Max Brooks

Le Guide de survie en territoire zombie vous explique très concrètement comment survivre à une invasion de zombies. Qu’est-ce qu’un zombie ? Comment les tuer définitivement ? Quels sont les meilleurs endroits où se réfugier ? Les meilleures armes et armures ? Comment se barricader efficacement ? Comment se déplacer dans une zone infestée ? Ce guide vous décrit dans le détail les trucs et astuces pour augmenter ses chances de survie.

Voilà une façon bien originale d’aborder le thème devenu aujourd’hui très banal de l’invasion des morts-vivants. Plutôt qu’un énième roman, Marx Brooks (le fils de Mel) aborde le sujet sous un angle très pratique. On peut voir ce livre comme une parodie de guide, et il atteint parfaitement son objectif via quelques petites pointes ironiques très bien vues. On sourit régulièrement durant la lecture… mais on ne ri jamais à gorge déployée.

Pourquoi ? Tout simplement parce que ce guide nous explique dans le détail la fin de notre civilisation. Indirectement, c’est aussi une terrible charge contre les gouvernements, l’autorité, et la nature humaine en général. A noter que les états-uniens en prennent pour leur grade, à travers quelques remarques bien senties.

Mais l’exercice a du mal à tenir la distance sur 300 pages. Le livre aurait gagné à être un brin plus court, parce qu’au fur et à mesure, le plaisir diminue progressivement et on a hâte que cela se termine. C’est bien connu, les plus courtes sont les meilleures.

Reste que ce Guide de survie en territoire zombie constitue un bon moment de lecture, à condition d’adhérer à l’esprit humour noir de l’ensemble.


318 pages
aux éditions Calmann-Lévy
collection Interstices
ISBN-13: 978-2702139721
Partager cet article
Repost0
28 juin 2009 7 28 /06 /juin /2009 09:22
de Stephen King

Edgar Freemantle, entrepreneur dans les travaux publics, est victime d'un accident de grue. Il perd son bras droit et il doit suivre une longue et lente rééducation. Son épouse le quitte. Edgar est sur le point de se suicider. Son médecin lui conseille de tout plaquer et redémarrer une nouvelle vie, dans un nouvel environnement. Et voilà Edgar qui s'installe à Duma Key, petit coin de paradis du Golfe du Mexique.
Rapidement, il fait la connaissance de ses voisins les plus proches : Elisabeth Eastlake, une très vieille femme, riche propriétaire terrienne, et son aide de vie, le sympathique Wireman.
Mais il y a mieux encore : Edgar se découvre un don étonnant pour la peinture...


Cela faisait pas mal de temps que je n'avais pas lu de Stephen King, l'un des auteurs favoris de ma jeunesse (je me souviens avoir dévoré Dolores Claiborne en une seule journée). Il faut dire que les derniers sur lesquels j'avais mis la main il y a quelques années ne m'avaient pas convaincu (Désolation, qui porte bien son nom en fin de compte, et Roadmaster). Alors en croisant la couverture de Duma Key, j'ai eu envie de voir si la magie opérerait toujours.

Ce que j'aime chez Stephen King, c'est qu'une fois qu'on rentre dans son roman, il suffit de quelques pages pour ne plus avoir envie d'en sortir ! King a cette incroyable qualité de réussir à vous accrocher très rapidement, de faire en sorte que vous vous attachiez vite aux personnages. Duma Key ne rompt pas les habitudes : il m'a suffit de 10 pages pour sentir que j'irai jusqu'au bout et que j'y passerai un bon moment.

Duma Key est en fin de compte un roman qui fait parfaitement la synthèse de l'oeuvre de Stephen King. Et en ce sens, et parce qu'il est très accessible, cela en fait un parfait roman pour les néophytes qui ne connaissent pas l'auteur.

Dans Duma Key, j'ai retrouvé plusieurs éléments chers à King.
L'intrigue générale tourne autour d'une menace qui influence son environnement proche (ici, la région de Duma Key), menace qui est l'incarnation d'un mal absolu et millénaire (un peu à la manière du monstre de Ca).
Bien entendu, comme dans tous les Stephen King, ce sont les personnages qui font l'intérêt du roman, et le trio Freemantle-Eastlake-Wireman est pour beaucoup dans le plaisir de lecture.
Enfin, et surtout, Stephen King ne cesse depuis des années de s'interroger à travers ses romans sur l'acte de création artistique (son origine, ses conséquences). Beaucoup de ses héros sont des artistes, on ne compte même plus le nombre de personnages écrivains ; et justement Edgar Freemantle va rapidement devenir peintre.
Seul manque à l'appel la nostalgie des années 50-60, que King a délaissé ici pour faire un roman "au soleil".

En fin de compte, Duma Key n'est PAS un roman d'horreur, mais simplement un roman inquiétant. Les ficelles sont en réalité assez grosses, et l'on prend plus de plaisir dans les 450 premières pages que dans les dernières.

Duma Key m'a réconcilié avec le King du fantastique, et vivement le prochain !
Partager cet article
Repost0
25 mai 2009 1 25 /05 /mai /2009 20:18

Wow, quelle fin !

Il existe deux versions du Grand Silence puisque les producteurs ont à l'époque demandé à Sergio Corbucci de tourner une nouvelle fin, différente de la version d'origine jugée trop sombre. Ce que je confirme puisque la fin est véritablement très noire, dans tous les sens du terme : même l'image est sombre.

Le grand Silence est un film très impressionnant et un western tout à fait atypique.

 

Tout d'abord, l'histoire se déroule sous la neige ce qui change des paysages couverts d'un soleil de plomb auxquels nous avons plus l'habitude dans les westerns.

 

Ensuite, l'acteur principal est français : il s'agit de Jean-Louis Trintignant, pas forcément habitué à ce type de rôle. Dans la version Canal + du DVD, on apprend tout de même que l'acteur a joué dans des films très variés, et même érotiques (L'amour à cheval) ! A noter aussi Klaus Kinsky dans le rôle du méchant de service, qui parvient à ne pas surjouer.

 

Le Grand Silence est un Sergio Corbucci comme à son habitude, c'est-à-dire sombre, désespéré. J'ai tendance à utiliser l'adjectif crépusculaire pour désigner ses westerns, et le Grand Silence n'y fait pas défaut.

 

Sergio Corbucci doit avoir un problème avec les mains, puisqu'il les maltraite d'un film à l'autre. Dans Django, Franco Nero se fait écraser les doigts ; dans le Grand Silence, Trintignant tire sur les pouces de ses ennemis pour les handicaper à vie, et il se fera même brûler la main droite.

 

Un très bon film de série B, étonnant, rude, rugueux, servi par de bons acteurs. Le déroulement de l'histoire est assez lent et l'on retrouve des éléments chers à Corbucci, notamment la ville (triste) prise en otage par des truands sadiques, ou le rôle de la femme.

 

Je suis très curieux de voir un autre film de cet auteur, ce qui ne tardera pas puisque j'ai eu la chance de trouver à tout petit prix Far West Story et Campaneros.

 


Partager cet article
Repost0
15 mai 2009 5 15 /05 /mai /2009 10:14
Télérama vient d'éditer une édition 2009 du Guide Cinéma, version bien entendu mise à jour.

Le Guide Cinéma, c'est un peu un dictionnaire des films qui se présente sous la forme d'un gros bottin au format carré. Il fournit une présentation rapide du film (résumé, durée, année, réalisateur) et une appréciation.

C'est le genre de livre qu'on peut naturellement poser près de sa télé, pour être consulté afin d'attraper quelques infos. Et tant qu'à faire, il peut aussi susciter l'envie de regarder quelques titres méconnus ou inconnus.

Télérama n'a jamais vraiment défendu la série B ou le fantastique, et cela se sent. Mais c'est une vraie mine de renseignements sur le pouce, qui vaut bien ses 20 euros.

Partager cet article
Repost0
12 mai 2009 2 12 /05 /mai /2009 15:19
Il y a parfois des paris fous qu’on se lance, et que l’on ne tiendra probablement jamais.

Aussi aujourd’hui j’inaugure mon saut à l’élastique culturel, qui va m’amener probablement à descendre de plus en plus vers l’absence de qualité, je veux parler d’une rétrospective sur une des séries mythiques des années 90, je veux parler de Baywatch, retitrée « Alerte à malibu » par TF1.

« Alerte à Malibu » évoque invariablement tout un ensemble de stéréotypes. Pamela Anderson et sa poitrine opulente mise en avant par des maillots de bain 3 tailles en dessous. De jeunes et beaux sauveteurs courant au soleil sur le sable chaud. Et des intrigues débiles.

J’avoue que curieusement je n’ai jamais été adepte de la série pendant son âge d’or. Je suivais l’évolution du casting de loin, plus intéressé par le choix des actrices (souvent issues de l’écurie Playboy) que par le reste. Aussi me paraît-il intéressant de revenir presque 20 ans plus tard sur ce phénomène médiatique (rappelons que la série connut les audiences les plus importantes de son époque). Voilà donc le premier d’une série d’articles qui tentera de percevoir l’évolution de la saga Baywatch dans le temps, son intérêt et surtout si les a priori sont justifiés.

Baywatch (oui, je préfère le titre original) propose au spectateur de suivre les aventures d’une équipe de sauveteurs sur la plage de Malibu à Santa Monica, Californie (voir la page officielle des VRAIS sauveteurs ). Au début de la première saison l’équipe se compose de 3 sauveteurs expérimentés et 2 nouvelles recrues :
- Mitch Buchannon (David Hasselhoff), le chef d’équipe qui n’a pour seul problème que la garde de son fils Hobie (Brandon Call) suite à un divorce.
- Craig Pomeroy (Parker Stevenson), partagé entre son métier d’avocat et sa vocation de sauveteur.
- Jill Riley (Shawn Weatherly), sauveteuse sérieuse et consciencieuse.
- Eddie Kramer (Billy Warlock), un petit gabarit un peu farouche au bon cœur, mais sans le sou car il vient juste d’arriver à Malibu.
- et enfin, Shauni McClain (Erika Eleniak), une jolie jeune femme un brin naïve mais volontaire.
L’équipe travaille régulièrement avec des personnages récurrents, tels qu’un sauveteur sur une plage privée, un flic local, ou bien un vieil instructeur nostalgique.
Et pas de Pamela Anderson ? Non. Elle n’arrivera que plus tard dans la série.

La structure narrative de chaque épisode est classique et récurrente : un évènement principal en rapport avec le sauvetage et un évènement plus mineur (voir deux) en rapport avec la vie privée d’un des personnages.

Sur la plage, ça ne chaume pas, il y a du boulot ! En fin de compte, les noyades ne sont pas si nombreuses puisque les scénaristes varient les soucis. La série essaie tant bien que mal de pointer du doigt quelques problèmes de société : la violence conjugale, le divorce, les politiciens véreux, l’absence de réglementation concernant les scooters des mers (rappelons que nous sommes en 1989), la prise de stéroïdes pour tricher, la protection du littoral, etc. Oh rien de trop complexe, mais c’est bel et bien là, quoiqu’on pouvait penser des stéréotypes sur cette série. Parfois même la série lorgne du côté de la série policière avec kidnapping et cie : pas simple de toujours trouver une raison de faire du sauvetage !

Côté vies privées, rapidement les interactions se créent entre les personnages : Eddie vient vivre chez Craig et sa conjointe, le même Eddie commence à éprouver quelques sentiments pour la jolie Shauni, Mitch se bat pour conserver la garde d’Hobie dont la mère est mutée en Ohio, etc.
L’ensemble ne fonctionne pas trop mal pour le moment, surtout permet au spectateur irrégulier de suivre l’intrigue sans trop de mal.

Rappelons que Baywatch a 20 ans ! Et si à l’époque c’était une série dans l’air du temps, cette dernière a fait son office, et il faut bien constater que les vêtements, coiffures et équipements font maintenant bien kitsch : sacs bananes, téléphones à fil, sweets fluos, grandes paires de lunettes de soleil, coiffures permanentées. Bouh, que tout ça a mal vieilli ! C’était inévitable, bien entendu, mais franchement parfois on ne peut s’empêcher un petit sourire en coin.

A noter, enfin, le générique (la chanson « Save me » par Peter Cetera) n’est pas le même que celui des saisons à venir.

Cette première moitié de première saison s’avère donc parfaitement regardable avec un brin d’indulgence. Ca n’est pas transcendant, mais ça se laisse regarder car c’est classique et carré. Vivement la suite !



 
Partager cet article
Repost0
11 mai 2009 1 11 /05 /mai /2009 13:44
Voilà en gros ce qui peut vous attendre dans mes cartons pour les prochains articles :

- Baywatch, saison 1
Retour sur la première saison de la série aux nanas courant avec des maillots trop petits...

- Le Grand Silence
Un Sergio Corbucci, un !
Un western spaghetti avec Jean-Louis Trintignant ? Oh oui !

- RPG Magazine
Où comment essayer de concilier dans le même mag' du jeu de rôle sur table et du rpg informatique.
Pari réussi ?

Je cède à la mode des teasers. C'est peut-être pas sympa, mais en tout cas, c'est fort pratique lorsqu'on a pas eu le temps de rédiger entièrement ses textes.

Mouaah ah ah AH AH... Je suis démoniaque !

Ok, je vais me coucher...
Partager cet article
Repost0
4 mai 2009 1 04 /05 /mai /2009 14:26
A nouveau quelques petites babioles à vendre !

Ma collection diminue petit à petit. Curieusement, ça ne me fait pas trop de peine, surtout quand je songe que je n'avais jamais relu certains beaucoup depuis que je les ai acheté.

ALBUM MARVEL 100% Wolverine/Punisher T2 - TBE

ALBUM MARVEL 100% HULK T3 : GRIS - TBE

ALBUM MARVEL 100% SPIDER-MAN T.4 - BLEU (ancienne ed°)

ALBUM MARVEL 100% FANTASTIC FOUR T.3 : LA FIN - TBE

ALBUM JLA : JUSTICE, TOME 1 (TBE)

Et vous avez jusqu'au dimanche 10 mai pour vous décider !

Partager cet article
Repost0