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6 mai 2010 4 06 /05 /mai /2010 09:24

Y'en aura pas forcément pour tout le monde ! A cause des comics et des jeux de rôle, mon étagère commence à craquer sous le poids du papier ! Du coup, je brade quelques petites choses sur eBay. Les enchères courent jusque dimanche soir, profitez-en !

 







1,00 EUR (--)  

LOT DE 7 ANIMELAND 147 à 153 - TRES BON ETAT

Time left : 2j 1h 38m

# membres suivant cet objet: 1

 

 

 



1,00 EUR (--)  

LOT DE 2 CIVIL WAR EXTRA 3 et 4 - TRES BON ETAT

Time left : 2j 1h 53m

# membres suivant cet objet: 4

 




1,00 EUR (1)  

LOT DE 4 ULTIMATES 37, 38, 41 et 42 - TRES BON ETAT

Time left : 2j 1h 55m

# membres suivant cet objet: 2

 



 

1,00 EUR (1)  

LOT DE 10 MAD MOVIES 210 à 219 + 5 IMPACT 1 à 5 - TBE

Time left : 3j 2h 26m

# membres suivant cet objet: 2

 




1,00 EUR (--)  

LOT DE 3 BATMAN HORS-SÉRIE 3 à 5 - TBE

Time left : 3j 2h 30m

# membres suivant cet objet: 2

 




5,50 EUR (3)  

LOT DE 11 SUPERMAN BATMAN HS + 4 ALL STAR - TBE

Time left : 3j 2h 37m

# membres suivant cet objet: 6

 




1,00 EUR (1)  

LOT DE 6 WOLVERINE 100 à 105 - la saga Origin - TBE

Time left : 3j 2h 42m

# membres suivant cet objet: 5

 




9,50 EUR (5)  

LOT DE 6 MARVEL ICONS 55 à 60 - TBE

Time left : 3j 2h 46m

# membres suivant cet objet: 3

 




5,50 EUR (3)  

LOT DE 5 MARVEL HEROES 26 à 30 - TBE

Time left : 3j 2h 49m

# membres suivant cet objet: 4

 




1,00 EUR (1)  

Polaris 3ème édition + Dossier de Personnage- ETAT NEUF

Time left : 6j 10h 30m

# membres suivant cet objet: 3

 




1,50 EUR (2)  

NIGHTPROWLER 2ème édition - ETAT NEUF

Time left : 6j 10h 34m

# membres suivant cet objet: 3

 




1,50 EUR (2)  

KURO - ETAT NEUF

Time left : 6j 10h 38m

# membres suivant cet objet: 4

 




1,50 EUR (2)  

ESOTERRORISTES - ETAT NEUF

Time left : 6j 10h 41m

# membres suivant cet objet: 2

 




40,50 EUR (4)  

L'INTEGRALE VERMINE - TOUTE LA GAMME - ETAT NEUF

Time left : 6j 10h 47m

# membres suivant cet objet: 8

 




1,50 EUR (2)  

RETROFUTUR - BON ETAT

Time left : 6j 10h 54m

# membres suivant cet objet: 5

 




1,50 EUR (2)  

HOLLOW EARTH EXPEDITION - VF - NEUF

Time left : 6j 11h 02m

# membres suivant cet objet: 2

 




1,00 EUR (--)  

D20 ARCHIPELS - CARNETS DE VOYAGES - NEUF

Time left : 6j 11h 07m

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18 avril 2010 7 18 /04 /avril /2010 14:37

steamUn exposé sur Steam, la plateforme de vente de jeux vidéo dématérialisée de Valve, avec ses avantages et ses inconvénients.

 

En 2003, Valve, éditeur de jeu vidéo lance Steam, une plate-forme de distribution de contenu en ligne (principalement des jeux vidéo), de gestion des droits et de communication.

Orientée autour des jeux vidéos, Steam permet aux joueurs d'acheter des jeux, du contenu pour les jeux, les met à jour automatiquement, de gérer la partie multijoueur des jeux et offre des outils communautaires autour des jeux utilisant Steam.


J'achète quand je veux

Vous voulez acheter un jeu vidéo un dimanche ou un jour férié ? Toutes les boutiques de votre ville sont fermées ? Pas de soucis. Avec Steam vous pouvez acheter un jeu à n'importe quelle heure, n'importe quel jour, la boutique est toujours ouverte.

 

Des promos régulières

Steam propose très régulièrement des prix réduits, surtout pendant les périodes des fêtes ou lors d’occasions particulières. Il y a de très bonnes affaires à réaliser, si l’on prend la peine de suivre les prix de la boutique. Par exemple, j’ai ainsi acheté Batman Arkham Asylum à moins de 20 euros, alors qu’il était en magasin à une soixantaine d’euros ; ou bien Operation Flashpoint : Dragon Rising à 9 euros au lieu de 50.

 

Un euro = un dollar ?! Vous vous foutez de moi !

Les commerçants de Steam semblent ne pas aimer les conversions. Alors, pour faire simple, ils alignent l’euro sur le dollar, si bien qu’un jeu très récent est souvent un peu plus cher sur Steam pour nous, français, qu’en magasin.

 

Attendre avant de jouer

Une fois que vous avez passé votre commande, et que vous avez payé, vous téléchargez votre jeu pour y jouer. Attention : en fonction du volume de votre jeu et de la qualité de votre connexion, le temps de téléchargement peut être assez long. Par exemple, il m’aura fallu plusieurs heures pour récupérer Dragon Ages : Origins ! N’espérez donc pas jouer tout de suite après le règlement de votre achat, surtout pour de gros jeux.

 

La fin de la vente d’occasion

Avant Steam, lorsque vous aviez fini un jeu, vous aviez souvent (mais pas toujours) la possibilité de le revendre sur le marché de l’occasion. Avec Steam, c’est impossible. D’abord, vous n’avez pas de boîte de jeu et encore moins de DVD, puisque vous l’avez téléchargé via le net. Donc concrètement vous n’avez plus rien à vendre sur le marché de l’occasion.

De plus, votre jeu est relié à vos identifiants de connexion sur Steam, si bien que si vous souhaitez revendre un jeu, vous devrez revendre TOUS les jeux que vous avez achetés sur Steam. Pas très pratique ! Enfin, Steam interdit la revente de comptes, c’est illégal. L’affaire est close : fini l’occasion avec ce mode d’achat.

 

L’accès à des éditions variantes spéciales

Steam met régulièrement en vente des versions inédites en magasin de jeux. Par exemple, Dragon Age : Origins Deluxe Digital Edition comprend des objets magiques inédits à destination des clients Steam.

En général, pas de quoi s'emballer, il n’y rien de bien folichon dans le contenu supplémentaire.

 

Jouez de n’importe quel ordinateur

C’est presque vrai. Vous vous trouvez chez des amis et vous avez vos identifiants de connexion Steam ? Vous pouvez réinstaller Steam, vous connecter, et récupérer vos jeux pour y jouer ailleurs que sur votre machine. Encore faudra-t-il que l’ordinateur que vous utilisez soit suffisamment puissant, bien entendu.

 

Entièrement installé sur l'ordinateur

Plus besoin d'avoir de support dans votre PC. C'est bien. Pas besoin de chercher son foutu CD ou DVD pour commencer à jouer. Plus de vérification anti-piratage.


Rester en relation avec vos amis

Steam intègre des outils de discussion et de gestion d’amis. Cela permet de savoir qui est en ligne, dans quel jeu, et de papoter (un peu comme avec MSN ou Skype). Vous pouvez rentrer dans vos listes d’amis des joueurs avec lesquels vous vous entendez bien pour les retrouver plus facilement par la suite.

 

Des mises à jour automatiques

Par défaut, Steam vérifie automatiquement les mises à jour pour tous les jeux que vous avez installés et les met à jour si besoin. C’est TRES pratique puisque vous n’avez plus à le faire par vous-même et vous assure de ne pas en manquer.

Quelques bugs

Suite à certaines mises à jour des jeux Valve, des jeux (Left 4 Dead et sa suite, par exemples) repassent en anglais sans qu'on ait modifié quoique ce soit dans les options. Parfois il suffit de repasser le jeu en français dans les options, avec redémarrage du jeu à la clé. D'autres fois, je me suis vu carrément retélécharger le jeu dans son ensemble. Rageant.

Certains utilisateurs se plaignent d'autres plantages intempestifs (pour ma part, presque rien). Voire même de suppressions de compte (plus gênant).

 

La possibilité de sauvegarder vos jeux

Steam intègre un outil qui vous permet de stocker les jeux que vous avez téléchargés sur un support externe (comme un DVD ou un disque dur externe). C’est très pratique, puisque vous pourrez ainsi réinstaller par la suite vos jeux sans passer par l’étape de téléchargement.

 

Qu’en sera-t-il dans cinq, dix, ou quinze ans ?

Pour le moment, Steam est assez plaisant à utiliser. Mais que se passera-t-il si Valve, l’éditeur, vient à mettre la clé sous la porte ? Pourra-t-on toujours utiliser les jeux ? Certes, il est possible d’utiliser Steam sans être connecté au net. Mais il y a toujours une étape d’identification via internet : si les serveurs officiels tombent en rade ou sont abandonnés, pourra-t-on encore lancer les jeux ? Mystère…

 

La fin de l’anonymat

Pour jouer, vous vous connectez à Steam.

Mais on peut imaginer que nos statistiques personnelles sont stockées chez l’éditeur (temps de jeu, titres les plus joués, etc.). Que fait Valve avec ces données ? Mystère et boule de gomme.

Dans le même genre d’idée, par défaut, lorsque vous achetez un jeu sur la boutique, tous vos amis inscrits à Steam reçoivent une note comme quoi vous avez acheté ce jeu. Pas très discret.

   

L'accès à des "vieilleries"

Vous aimez les vieux jeux mais vous avez perdu vos disquettes ou vos CD ? Vous pouvez les retrouver via Steam, moyennant une somme souvent modique. De plus, la compatibilité avec les dernières versions de Windows est presque toujours assurée. La nostalgie est donc à portée de clic.

Attention toutefois à vérifier que les jeux vendus soient bien en français si vous êtes anglophobe.

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8 avril 2010 4 08 /04 /avril /2010 13:06

L4DL'histoire de Left 4 Dead (en abrégé : L4D) est simple : les zombis envahissent le monde, et 4 personnages tentent de survivre. Simple et direct, l'intrigue ne semble pas à priori s'embarrasser avec des détails ; mais si l'on prend le temps d'observer les décors, on pourra y trouver moultes indications qui nous renseignent sur l'origine de l'invasion. Des petits plus qui renforcent l'ambiance en somme.

Encore faut-il avoir le temps de s'arrêter en cours de partie, car L4D est un jeu nerveux, tendu et rapide.
Les 4 personnages sont incarnés par des joueurs, qui vont devoir coopérer pour survivre et venir à bout du jeu. Le jeu est divisé en 4 grandes campagnes, elles-mêmes sous-divisées en 4 zones de jeu, pour un total de 16 zones différentes. A noter que l'on peut jouer chacune des 4 campagnes dans n'importe quel ordre : il n'est pas nécessaire d'avoir fini la première pour faire la seconde, par exemple. Il existe 4 niveaux de difficulté : Facile, Normal, Avancé, et Expert.

Le jeu vous propose de jouer en ligne ou bien en solo. Dans ce dernier cas, l'ordinateur gèrera vos compagnons de jeu du mieux possible : vos compagnons évitent de vous tirer dessus, vous soignent si besoin, mais manquent d'initiative. Jamais ils ne lanceront une grenade, jamais ils n'iront de l'avant. D'ailleurs ils restent toujours bien sagement collés à vos baskets. Rien ne vaut une partie entre joueurs : c'est dans ces conditions que le jeu commence à prendre tout son sel. D'ailleurs, en mode Expert, il vous est très difficile, voire impossible, de finir les 4 campagnes. Ce principe vous poussera donc doucement à vous lancer dans des parties en ligne efrénées.

Mais avec quoi nos braves survivants vont-ils pouvoir résister aux hordes zombies ? Vous avez à votre disposition très peu d'armes : le pistolet de départ (aux munitions illimitées, tout de même), et, au choix, un fusil à pompe ou un fusil mitrailleur. Le premier est pratique à courte portée, le second plus précis à distance. En chemin, vous pourrez récupérer de l'équipement : des grenades (qui attirent les zombis pas très loin, avant d'exploser), des cocktails molotov, un deuxième pistolet, des versions améliorées des fusils précités, des bidons d'essence (qui permettent d'allumer des incendies bien pratiques pour faire barrage aux morts-vivants), des bonbonnes de gaz (qui explosent lorsqu'on tire dessus), des pillules et des soins (pour récupérer des points de vie). Le succès dépendra en grande partie de la capacité du groupe à bien gérer cet équipement et à ne pas le gaspiller inutilement.

L4D01

Car en face, les zombis sont certes idiots mais innombrables, et certains sont bien casse-pied. Il y a le boomer, un zombi obèse qui vomit sur ses victimes, ce qui attire immédiatement tout plein de morts-vivants sur le pauvre personnage. Le Smoker étrangle les joueurs avec sa langue extensible. Le Hunter saute rapidement sur ses proies pour les immobiliser et les déchiqueter au sol. La Witch réagit à la lumière des lampes torche et ne lâche plus sa victime une fois attirée. Et enfin, le plus pénible pour la fin, le Tank, sorte de Hulk zombifié, costaud qui balance des voitures, des portions de route sur les pauvres joueurs. Chaque type de mort-vivant peut être contré grâce à des techniques bien précises : dégommer le boomer avant qu'il ne vomisse, éteindre les lampes à proximité de la Witch, ou enflammer le Tank et fuir, en sont quelques exemples.

16 campagnes, c'est peu. Mais les créateurs de L4D ont doté leur jeu d'une particularité très intéressante : le logiciel modifie légèrement chaque zone à chaque partie. Concrètement, les monstres ne sont pas toujours aux mêmes endroits, les équipements non plus, et parfois des hordes de morts-vivants déboulent sans crier gare, mais jamais au même endroit du jeu. Résultat : stress garanti, puisque le jeu n'est jamais le même ! C'est vraiment un gros plus, et cela entretient l'intérêt du joueur.

L4D02

Graphiquement, L4D est basé sur le moteur Source de Valve, moteur qui a fait ses preuves dans le jeu Half Life 2. Alors les graphismes ne sont pas renversants, mais cela donne l'avantage de pouvoir tourner sur des configurations modestes. On notera le gros effort de design : les monstres sont très réussis, les 4 personnages aussi, et les cartes sont très bien vues. On sent que le jeu a été très testé et équilibré. Mention spéciale au son. Les musiques sont parfaitement dans le ton, et les bruitages jouent un rôle très important. Chaque zombi spécial émet des bruits caractéristiques, si bien qu'on peut déviner leur arrivée en tendant l'oreille. La musique accompagne la venue du tank et permet de savoir lorsqu'il est vaincu. Les personnages peuvent dire quelques mots via une interface rapide et efficace : cela permet de s'exprimer rapidement (remerciements, signaler des équipements, dire d'attendre, etc.). Tout le jeu baigne dans un style "film d'horreur de série B" très bien rendu et parfaitement assumé.

Le plaisir du jeu repose sur la capacité des joueurs à coopérer. Parfois certaines parties seront décevantes parce que vous jouerez avec des idiots finis, qui refusent de jouer le jeu du coopératif. J'ai vu des joueurs s'entre-tuer parce qu'untel ne s'était pas excusé d'une balle perdue... J'ai vu des casses-pieds venir pourrir des parties... Mais lorsque les joueurs s'entendent, c'est le bonheur !  Quel plaisir de progresser en compagnie de joueurs avec qui on s'entend bien, qui viennent en aide à leurs compagnons de jeu. Je n'avais pas connu de tels plaisirs vidéo-ludiques depuis Team Fortress !

L4D03

Le jeu se lance via le programme Steam, qui facilite la création de communauté de joueurs : vous pouvez conserver les noms des joueurs avec qui vous avez joué, communiquer avec eux facilement par la suite via un système type MSN. Très bien vu. Je reviendrai d'ailleurs prochainement plus en détail sur cette plateforme, dont L4D ne représente qu'une infime partie.

En mode Facile, le jeu peut être très bourrin car vous ne risquez pas grand chose. Par contre, le mode Expert vous demandera un grand sens tactique et beaucoup de réflexes. Après avoir fini l'ensemble du jeu en mode expert, les plus acharnés peuvent poursuivre via d'autres modes de jeu : vous pouvez par exemple prendre la place des zombis pour harceler d'autres joueurs ! Reste que, personnellement, au bout de 60 heures de jeu, la lassitude fait lâcher prise doucement.

Entre-temps, c'est un gros gros plaisir qui vous attend, alors n'hésitez pas ! A noter que Valve a sorti Left 4 Dead 2 pour Noël dernier, une suite qui propose quelques variantes.

Quelques conseils pour finir :

- Soyez courtois. Ne tirez pas sur un joueur parce que vous avez reçu une balle perdue, ça arrive même aux meilleurs. J'ai joué avec des types qui exigeaient qu'on s'excuse à la moindre erreur, c'est vite casse-pied.

- Inversement, si un type s'amuse à dégommer tout le monde pour le plaisir de nuire, virez-le du jeu en lançant un vote. Une fonction TRÈS pratique contre les parasites...

- Restez groupés. Ne vous déplacez jamais seul, toujours au moins par deux. En cas d'attaque zombie, vous serez mieux protégés. L'union fait la force.

- Aidez vos co-équipiers. Même si vous pensez que ces pillules sont à vous, donnez-les à votre collègue qui est sur le point de mourrir. Dans 3 minutes, vous serez ravi qu'il vous relève après qu'un Hunter vous aura jeté au sol pour vous étriper ! Soignez vos collègues lorsqu'ils vous le demandent.

- Fouillez les lieux. Prenez le temps de dénicher du matériel, c'est toujours utile. Signalez à vos co-équipiers l'endroit où vous avez trouvé des armes, des soins, des grenades. Si il n'y a que vous correctement équipé, cela ne servira pas à grand chose.

- Prenez dès que possible un deuxième pistolet. L'arme n'est pas géniale, en tout cas beaucoup moins puissante que les autres. Mais vos deux flingues vous permettront de dégommer les ennemis pas immédiatement dangereux, vous permettant d'économiser les munitions de vos armes plus puissantes.

- Communiquez ! L'idéal est de jouer entre français avec micro et casque. Mais même avec des étrangers, c'est jouable, à condition de baragouiner un peu d'anglais. Communiquez toujours avec les autres, la partie n'en sera que meilleure, et votre jeu plus efficace.

- Jouez aux incendiaires ! Utilisez les jerricans pour enflammer certaines zones et éliminer ainsi des paquets de zombies. C'est très utile contre la horde. Et contre le Tank aussi. Idem pour les cocktails molotov. Il faut se débrouiller pour qu'un joueur au moins ait toujours un molotov sur lui, au cas où vous rencontriez un Tank. La méthode est simple, mais efficace : vous balancez le molo sur le Tank et toute l'équipe s'enfuit à toutes jambes. Ne restez jamais immobile à tirer sur lui, ca ne sert à rien. Au mieux, vous allez prendre une grosse baffe qui va vous immobiliser au sol, et attirer le Tank sur vous (là vos collègues pourront cribler le Tank de balles).

- Organisez-vous. Lorsque vous savez que la Horde va surgir, et si vous pouvez prendre le temps de vous préparer, faites-le. Il existe des astuces qui permettent de tenir facilement à 4 contre des centaines de zombies, si tout le monde joue comme il faut.

- Fermez les portes des pièces que vous quittez. Elle peuvent servir de zone de réapparition pour les personnages décédés. Si vous êtes le seul survivant d'un massacre, ne courrez pas au devant du danger, mais patientez quelques minutes, le temps que les personnages décédés réintègrent la partie (et accessoirement, vous offrent une plus grand chance d'arriver au bout).

- Amusez-vous ! Si vous jouez depuis 4 heures, faites une pause : souvent, à force de jouer, on s'énerve, on s'irrite plus facilement et le plaisir diminue.

- N'oubliez pas : ce n'est qu'un jeu.

L4D04

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4 avril 2010 7 04 /04 /avril /2010 10:45

VampireLesbianKillersRien qu'en lisant le titre, on imagine bien qu'on ne va pas assister à un chef d'oeuvre du cinéma, mais bien à un produit ultra-ciblé : les amateurs (ou "mateurs" tout court) de vampires. Tellement ciblé que le métrage a manqué de peu les salles de cinéma françaises où il devait sortir l'été dernier. La sortie du DVD est donc l'occasion de voir ce que l'on a manqué.

L'intrigue est assez basique : deux jeunes adultes, Jimmy et Fletch, décident de partir dans un trou perdu de la campagne anglaise afin d'oublier leurs soucis amoureux. Coup de chance :  ils  rencontrent des jeunes femmes particulièrement sexy et peu farouches venues pour de la randonnée. Nos deux héros imaginent déjà qu'ils vont passer du bon temps. C'est sans compter une ancestrale malédiction : certaines jeunes femmes, tout juste majeures, deviennent de redoutables vampires lesbiennes... Le combat va pouvoir commencer !

On l'aura vite compris : Lesbian Vampire Killers n'est en aucun cas un film sérieux.
Le film enchaîne les gags les uns après les autres. La grande force comique du film repose sur les épaules des deux acteurs principaux, assez drôles, et sur les répliques plutôt bien trouvées (attention à la VF, je l'ai vu en VOST). Le réalisateur joue à fond la carte du second degré en permanence et parvient à confectionner un petit film drôle et rythmé. Voir nos deux nigauds affolés par de splendides créatures démoniaques, c'est assez fun.

La sexualité est très soft et plus sujette à gags qu'à des scènes sensuelles. Du coup, l'idée des vampires lesbiennes apparaît plus comme un moyen d'attirer le spectateur que comme une vraie trouvaille scénaristique ("viendez voir les filles sublimes se faire des mamours, les gars !").
VampireLesbianKillers01
Au bout du compte on passe un bon moment, même si le film a un petit côté racoleur qui peut déplaire.
Dans la limite de ses très modestes ambitions, c'est plutôt une agréable surprise puisqu'on ne voit pas le temps passer.

VampireLesbianKillers02

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30 mars 2010 2 30 /03 /mars /2010 10:56

ledahlianoirde James Ellroy

Traduction de Freddy Michalski

Je voulais lire Le Dahlia Noir depuis pas mal de temps. Parce que c'est un classique du roman noir, et que j'ai envie de me mettre à ce genre de livres depuis quelques mois. Et on m'avait dit le plus grand bien de ce livre.

Dwight Bleichert, policier de Los Angeles, se lie d'amitié avec Leland Blanchard, un collègue. Les deux hommes travaillent ensemble, ils forment un bon duo de flics. Jusqu'au jour où une enquête va bouleverser complètement leurs vies.
Janvier 1947. Le corps d'Elizabeth Short est retrouvé, atrocement mutilé, dans un terrain vague de Los Angeles. L'affaire fait grand bruit, et la police, sous la pression de la mairie, doit tout mettre en oeuvre pour retrouver l'assassin. Bleichert et Blanchard se voient confier l'affaire. Ils vont plonger au coeur des ténèbres, à la recherche d'un tueur insaisissable...


Je vois le Dahlia Noir comme un no man's land grisâtre. Généralement, dans les intrigues, le Bien et le Mal sont clairement délimités, et la frontière entre eux assez mince : soit un personnage est gentil, soit il est mauvais.  
Dans le Dahlia Noir, Le Bien et le Mal sont des notions extrèmes, et l'ensemble des personnages du roman naviguent constamment entre les deux. Tout le monde a sa part sombre, et même lorsqu'un personnage tente de faire le bien, il finit irrémédiablement par commettre des actes répréhensibles. C'est la grande force du roman : assister à l'évolution de ces personnages dans cette zone bien sombre, ce no man's land.

James Ellroy prend son temps : l'auteur consacre les 100 premières pages à détailler les débuts de la relation entre Bleichert et Blanchard. On ne s'ennuie pas, mais on ne voit pas où il veut en venir. On aimerait que l'intrigue commence "réellement". Et puis le cadavre d'Elizabeth Short surgit dans l'intrigue, et plus rien ne sera comme avant. On comprend alors pourquoi le roman ne commence pas par le meurtre, parce qu'Ellroy veut appuyer sur la manière dont il va transformer la vie des deux flics.

Dans Le Dahlia Noir, toutes les couches de la société en prennent un coup, personne n'est innocent. Que ce soit l'aristocratie, les politiques, les autorités, etc. tout le monde a quelque chose à se reprocher, d'une manière ou d'une autre. Les deux personnages principaux seront les plus touchés dans cette histoire.

James Ellroy travaille à partir de faits réels, mais transforment la réalité : l'affaire du Dahlia ne fut jamais résolue. Ici, Ellroy aboutit à une conclusion, donne un coupable mais en fin de compte cela n'a plus réellement d'importance.
On sent la volonté de l'auteur de faire vrai, de donner une profusion de détails, c'est aussi l'un des défauts de son histoire. Il faut une lecture attentive pour ne pas crouler sous les noms de personnages. Heureusement ici on s'en sort encore sans prendre de notes. Mais pour peu que vous lachiez le livre une ou deux semaines, cela devient délicat d'y revenir. Il vaudra donc mieux le lire d'une traite.

Le Dahlia Noir est un livre magnifique, très noir, qui ne m'a pas déçu. Je retournerai bientôt vers cet auteur avec Le Grand Nulle Part.


Poche: 504 pages
Editeur : Rivages (18 octobre 2006)
Collection : Rivages Noir
Langue : Français
ISBN-10: 2743615877
ISBN-13: 978-2743615871

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20 mars 2010 6 20 /03 /mars /2010 09:44
valseavecbachirValse avec Bachir est un grand et beau film.

Commençons par la forme. Le film se présente comme un documentaire animé, genre rare au cinéma (et peut-être bien que c’est la première fois que l’on voit cela). Le principe est simple : Ari Folman, réalisateur israëlien, se met en scène alors qu’il cherche à retrouver la mémoire concernant son implication dans la guerre au Liban de 1982, et plus particulièrement au cours du massacre de Sabra et Chatila. On assiste donc à une suite d’entretiens qui vont permettre de recomposer les actions d’Ari Folman sur cette période. Mais le réalisateur choisit la forme du dessin animé pour exposer ses recherches. Le budget du film étant faible, Ari Folman a dû ruser ; le résultat est étonnant : on navigue entre animation 2D et décors 3D. On pourrait penser que les deux se marient mal, il n’en n'est rien et l’originalité graphique du film doit beaucoup à la ruse des techniciens qui consiste à nous faire oublier le manque de moyen. Le choix d’imposer une palette de couleurs (l’ocre et le gris dominent) achève de créer un style graphique fort. Certes, il y a bien des moments où l’on sent que l’animation n’est pas au top, mais qu’importe, l’ensemble est cohérent et élégant. Certains intervenants ont été reconstitués en dessin, avec une fidélité étonnante.

Voilà pour la forme, qui a elle seule mérite qu’on s’attache au film.
Mais Valse avec Bachir est un film précieux, car il expose une période sombre de notre histoire, un massacre organisé de plusieurs centaines de civils palestiniens dans les camps de Sabra et Chatila, massacre soutenu (sinon organisé) par l’armée israëlienne.
On peut voir le film sans aucune connaissance géographique et historique, mais je vous conseille tout de même de faire quelques recherches afin de mieux saisir le contexte et la portée des évènements.
Forman choisit de construire son film sur des flash-backs qui s’intercalent entre les interviews.Ses souvenirs permettent au réalisateur de dépeindre le quotidien de la guerre, de petits moments qui « font vrais ». On est loin de l’héroïsme auquel les films de guerre ont pu nous habituer. Ici, les soldats qui composent le groupe d’Ari sont mous, incompétents, et détachés. Pas de grands moments d’épisme, hormis la scène qui donne son titre au film. Du coup, l’ensemble nous paraît bien plus objectif, surtout que Folman n’est jamais tendre avec les dirigeants et gradés israéliens de l’époque.
La dernière partie du film, le massacre des camps de Sabra et Chatila, est un beau moment de cinéma, avec une grosse émotion face à l’horreur dépeinte. J’avais bêtement en tête que les israéliens étaient les « gentils » dans le conflit qui les opposait aux Palestiniens. Quand je dis bêtement, c’est parce que je n’avais jamais beaucoup réfléchi et que j’avais une vision manichéenne de la question. Valse avec Bachir a le mérite, pour les personnes comme moi, de remettre en perspective leurs idées. Folman nous montre l’enchaînement des décisions qui ont conduit le gouvernement israélien à soutenir le massacre et l’horreur.

Les dernières images, en prises de vue réelles cette fois, marque la prise de conscience du soldat Folman devant l’inconcevable (rappelons que les parents du réalisateur ont été déportés à Aushwitz). Le film nous laisse devant un gouffre, la cruauté humaine.

Un film fort que vous devez impérativement voir.
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8 mars 2010 1 08 /03 /mars /2010 14:04
OSS117lecaireniddespions1955. L'agent secret français OSS 117, de son vrai nom Hubert Bonnisseur de la Bath, est envoyé au Caire pour élucider le meurtre d'un agent français. OSS 117 devra découvrir la vérité alors que tout le monde conspire en Egypte : anglais, soviets, allemands, la famille royale, etc. Et vu les qualités fort limitées de notre agent, l'affaire s'annonce loin d'être facile...

J'avais suivi la sortie de ce film (et de sa suite Rio ne répond plus) de loin parce qu'il me semblait qu'on avait affaire ici à un bon gros film comique français probablement bien lourd qui surfait sur la nostalgie cinématographique des films d'espionnage des années 50-60. Si je ne me suis pas trompé concernant la nostalgie, j'ai du revoir mon préjugé ; Le Caire nid d'espions est un excellent film comique : fin, drôle, absolument second degré.

Si vous n'aimez pas Jean Dujardin, passez votre chemin, l'acteur occupant l'écran pendant quasiment tout le long du métrage. Et l'acteur s'investit complètement dans son rôle. Il parvient à imiter l'allure, le genre, la classe d'un Sean Connery de James Bond contre Dr No, tout y ajoutant un grain de parodie fort bien venue.

Cet OSS 117, c'est la caricature du français (vu par les étrangers) : sûr de lui, prétentieux, chauvin, mysogine, macho, inculte, et j'en passe. Jean Dujardin joue à la perfection ce rôle d'idiot qui se prend pour un as des services secrets alors qu'il patauge lamentablement durant tout le film et ne parvient à démêler l'affaire que par chance et surtout grâce à l'astuce de sa coéquipière.

Vu au premier degré, forcément, difficile de s'amouracher de ce personnage détestable. Au second degré les dialogues deviennent franchement désopilants. Il faut voir sa coéquipière lui dire, après s'être retenue tant que possible de l'envoyer sur les roses : "Vous êtes tellement... comment dire... français !". Et OSS de sortir après un temps de reflexion un peu long : "Merci" d'un air satisfait.

OSS117lecaireniddespions-01

Cette nouvelle version d'OSS 117 s'écarte donc du film d'aventure, pour y préférer la parodie et le pastiche. Et le réalisateur, Michel Hazanavicius, pousse la copie très loin. Les couleurs font invariablement penser au Technicolor, les costumes et les décors sont parfaits, la musique colle totalement au style graphique. Bref c'est un grand cri d'amour pour le cinéma de genre, et pour peu qu'on soit amateur, on se régale.
Forcément, le public qui n'aura pas vu au minimum un des tout premiers James Bond se sentira certainement un peu perdu. Pour dire : sur le DVD, on trouve une bande-annonce internationale dans laquelle le thème musicae de On ne vit que deux fois est repris à l'identique. J'ai aussi décelé quelques références bien pointues, comme cette poursuite dans les rues du Caire qui parodie gentiment celle de l'Homme qui en savait trop d'Hitchcock.

Hormis quelques passages à vide, lors desquels l'humour tombe un peu à plat (la bataille de poulets), le film m'a enthousiasmé à tel point que je suis très curieux de voir la suite, Rio ne répond plus.

Vivement conseillé.

OSS117lecaireniddespions-02
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2 mars 2010 2 02 /03 /mars /2010 10:56
Jeanne, qui vit chez sa mère, cherche un travail de secrétaire, sans grande conviction. Sa mère, Louise, avec qui elle s’entend très bien, voudrait l’aider : elle pourrait contacter un célèbre avocat parisien, une ancienne connaissance de jeunesse.
Jeanne, de son côté, aime faire du roller. A cette occasion, elle rencontre Franck.


Pour écrire son film, André Téchiné est parti d’un fait divers: l’affaire du RER D. En résumé, il s’agit de l’agression antisémite totalement inventée par une jeune femme dans le métro parisien. Voir à ce sujet les articles compilés ici : cliquez. Téchiné extirpe le fait seul et invente un avant et un après. Donc il ne s’agit nullement d’un documentaire.

La fille du RER
suit deux parcours. Celui de Jeanne, tout d’abord : comment sa relation avec Franck va-t-elle évoluer ? Va-t-elle trouver du travail ? Et puis le parcours de Louise : va-t-elle reprendre contact avec cet avocat qui est aussi un ancien prétendant ? Comment vont se passer ces retrouvailles ? Petit à petit, les éléments du drame se mettent en place, jusqu’au mensonge de Jeanne. La première partie permet de comprendre les raisons de ce mensonge.

Puis le film bascule dans les conséquences. Mais Téchiné s’intéresse uniquement aux conséquences sur ses personnages et presque jamais on évoque les politiques. Les trajectoires des personnages convergent jusqu’à laisser le spectateur se faire sa propre opinion sur les tenants et aboutissants.

La fille du RER n’est pas spécialement distrayant (certains le jugeront peut-être même ennuyeux), mais c’est un film qui m’a marqué puisque je me suis surpris à y réfléchir les jours qui ont suivi son visionnage. Réfléchir aux raisons de Jeanne et l’impact que son mensonge a eu sur la vie des autres personnages. Je n’ai toujours pas de réponse, mais le film a maintenant sa propre vie dans mon imaginaire, et c’est un très joli tour de force.

A noter la prestation d’Emilie Dequenne, bluffante.
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16 février 2010 2 16 /02 /février /2010 09:08
mangeagechoucrouteDepuis quelques temps, je peux lire quelques articles étonnants sur des faits assez semblables : l'intervention des représentants des forces de l'ordre dans des cinémas pour chasser des clients qui ne respectent pas le règlement intérieur. A noter que ces articles proviennent du site d'information Rue89, très orienté politiquement à gauche.

Des policiers appelés pour sortir un bébé d'une salle de cinéma (cliquez sur le titre pour le lire)

L'article est intéressant car il met en lumière une loi méconnue des parents : les enfants de moins de 3 ans n'ont pas à entrer dans une salle de cinéma. Deux principales raisons : le volume sonore dangereux pour leurs oreilles, et la gêne qu'un jeune enfant peut occasionner pour le reste du public (cris, pleurs...).
Pour le coup, à mon avis, les parents ont été bien idiots d'insister lourdement. Mais j'imagine que d'avoir payé une centaine d'euros pour se faire refouler n'a pas aidé à faire passer la pillule. Tout aurait été plus simple si sur les bornes et à la caisse la loi était rappellée clairement.

Autres articles :
L'homme au sandwich expulsé d'un cinéma
Expulsion d'une jeune femme en possession d'une cannette de Coca Cola
La police peut-elle débarquer dans une salle de cinéma ?

Première conclusion : la nourriture au cinéma, c'est bien compliqué à gérer pour les gérants de cinoches. Parce qu'à vouloir faire du pognon en vendant des canettes et des friandises à des prix scandaleux, il fallait qu'un jour où l'autre le problème leur retombe dessus. Oui, je comprends qu'UGC défende ses intérêts économiques et qu'on ne peut laisser entrer, qui avec son soda, qui avec son McDo. Surtout achetés dans une autre enseigne.
Mais qui a accepté il y a quelques années que les cinémas deviennent un lieu de consommation ? Ces mêmes gérants. Maintenant le problème devient plus complexe. L'économie d'un ciné repose en partie sur la vente de cochonneries, donc il faut forcer le public à consommer des produits vendus sur place et non à l'extérieur.
Et voir des gérants appeler des policiers pour déloger des personnes qui ont enfreint le règlement intérieur, ça n'est pas une solution. Pourquoi des policiers, (payés au passage par les impôts des citoyens), devraient-ils intervenir dans une entreprise (alors qu'il n'y a aucun danger) ?

D'un autre côté, comme je le dis parfois, on n'est pas au ciné pour bouffer. Onn' est pas chez soi, où l'on peut dévorer comme des gorets des M&Ms.
On est là pour voir un film.
Mangez avant ou après, mais pas pendant.

* La Cité de la Peur, Les Nuls
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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 12:35
L'envie me titillait depuis quelques semaines, j'avais envie de changer un peu l'interface de mon blog.

Je m'y suis attelé en deux étapes : la première a consisté à modifier l'agencement des textes sur l'écran. J'ai ramené tous les menus sur la gauche, et j'ai supprimé l'ancienne colonne de droite pour offrir un peu plus de largeur aux textes des articles (et accessoirement agrandir la largeur disponible pour les photos).
Ensuite, j'ai créé un nouveau bandeau tout en haut de la page à partir de quelques images, afin de marquer un peu plus la "personnalité" du blog. Enfin, j'y ai ajouté les sujets principaux de celui-ci : ciné, nanars, bd, etc. J'annonce tout de suite la couleur pour les nouveaux venus.

Je suis assez content du résultat, j'aime bien les tons marron chocolat de l'ensemble, c'est assez harmonieux. N'hésitez pas à me laisser quelques commentaires pour me dire ce que vous en pensez !
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